Proposer des stages ou des immersions en entreprise tout au long de la scolarité

j'ai rien à dire sur le programme scolaire en guadeloupe, je trouve qu'il est bien.
Le vrai probleme se situe dans l'estime et la confiance en soi des jeunes chomeurs, qui à force de délaissement devienne de mauvais exemple pour les plus jeunes.
On est en plein dans l'ere de l'information et des nouvelles technologie, il serait plus simple et plus éfficace de les utiliser pour motiver les jeunes en prenant compte de leurs gouts et choix qui divergente.

Tous les jeunes ne sont pas fans de reggea dance hall hp-hop, méringué, salsa et compa.
On aime aussi la musique électronique (funk, disco, techno-funk) et surtout le zouk (zouk beton, zouk love) le ka et c'est lewoz aussi.
Promotionnons la joie et la bonne humeur et non la ghettorisation de l'esprit et des meurs avec le hip-hop et dance hall.
Ces des gens du ghetto qui font cela pour sortir du ghetto, quand ils y sont plus ils font tous pour arréter ce désordre, alors pourquoi y rentrer???

Pourquoi marcher à reculons ainsi et de laisser les autres nous dépouiller de notre savoir et de tous ce qu'on a obtenue de la sueur de notre front au lieu d'avancer et d'aider les autres a avancer?.

Je trouve dommage qu'on est fermé l'AFPA. C'est un établissement qui avait une grande renommé et qui aidait beaucoup les chomeurs.
Je pense qu'il faudrait remplacer cette perte par aussi une chaine de d'établissement identique avec plus de périodes en entreprises étalé sur l'année par morceau de une à deux semaine.

J'ai donné une réponse qui se rapprochait de cette idée. Le problème soulevé était que les entreprises refusaient d'embaucher les jeunes ultramarins sous prétexte qu'ils n'étaient pas assez formés.
La vérité c'est que les entreprises ultramarines ne font pas confiance au niveau scolaire interne ( pas toute fort heureusement !).
Comment redonner confiance à ces entrepreneurs?
Je pense que les faire participer aux programmes de formations de ces jeunes pourrait être un plus. Ils sont les seuls à savoir ce qu'ils recherchent. Au lieu de privilégier l'embauche d'un jeune formé à des techniques spécifiques à l'exagone, ces entrepreneurs qui ont l'expérience du terrain et une approche locale, pourront repérer dès l'école leur futures ressources.
Je suis plutôt d'accord avec les stages en entrepises, mais les entrepreneurs doivent aussi jouer le jeu. Ils doivent dire ce dont ils ont besoin. C'est avec leur besoin que l'on peut créer des formations adéquates au marché.
De plus, tout le monde serait d'acord avec moi quand je dis que l'on apprend vraiment et réellement sur le terrain, au sein de l'entreprise.
Que les entrepreneurs nous disent ce dont ils ont besoin, qu'ils participent au plan de formation et surtout qu'ils se rapprochent des écoles et des universités. Ou que les écoles fassent le pas vers les entrepreneurs.

quand on est scolarisé il y a déja pas mal de moyens d'avoir un stage durant les vacances et des jobs d'été.

Pour avoir le droit d'ouvrir un restaurant, il faudrait avoir une autorisation. Cette autorisation serait obtenue après avoir passé un examen de compétence en cuisine, accueil, décoration etc.... Il faudrait mettre en place un système de notation à la portée des clients dans chaque restaurant, type numéro vert plus numéro de facture. Tous les mois la Région Guadeloupe récompenserait les trois meilleurs restaurants ayant obtenus la meilleure notation et publierait les résultats dans les divers médias. On pourrait étendre le fonctionnement à d'autres secteurs touchant de près le secteur touristique.

En premier lieu, maîtriser les rapports services publics- Usagers.
Hormis la séparation des Pouvoirs, qui va décider des "Etats généraux de la Justice". C'est une préoccupation sans aucun doute des guadeloupéens.
Nous pensons que l'exemple doit venir des "Services publics". Il faudrait un fonctionnement des services publics plus favorable aux besoins des guadeloupéens.
L'accueil assez souvent est négligé, voire repoussant. Peut-être par crainte de l'usager. Trop souvent on substitue une attitude méprisante au "Bon accueil".
Par le respect des usagers:
Sans comprendre pourquoi, nous constatons des situations anormales pour ne pas dire aberrantes. Exemple, Quand on connaît les files d'attente depuis que la "Poste" est devenue une banque, pourquoi le bureau annexe de la Poste de Prise-d'Eau est fermé le (Lundi).

Le service public doit penser également à l'usager.
La lettre recommandée se paie. Pourquoi à la Poste de Jarry Becquerel, l'employée refuse de donner l'imprimé.

Le service public doit être sérieux:

Pourquoi la Générale des Eaux Guadeloupe a facturé en 2008 des mètres cubes d'eau toujours pas atteints au compteur en 2009. Avec en prime une coupure de la fourniture d'eau au client et poursuite par un organisme de recouvrement.

Pourquoi certaines Mairies ne donnent pas suite aux réclamations des administrés: Buse bouchée, quant il pleut la route se transforme en piscine à l'Official.

Il y a un réel problème avec le foncier. Le Conservateur ne réagit pas au courrier. Le Cadastre se trompe. Les Notaires sont de plus en plus frileux au sujet du foncier.

Nous pensons que pour favoriser le dialogue social en Guadeloupe, il faudrait commencer par une amélioration de la communication des services publics avec les usagers. Le recyclage des personnels pourrait être programmé dans cette perspective. La formation continue, ayant pour objectif un bon accueil du public.
Car, c'est ce même usager plus ou moins mal traité quotidiennement que l'on retrouve face au patron. Incompris dans sa vie de tous les jours, il devient vindicatif à outrance pour se venger d'une situation qu'il ne maîtrise pas. (L'intolérance)

Par ailleurs, concernant la formation professionnelle en générale.
Des dispositions spécifiques d'allègement des charges (sociales, professionnelles et fiscales) et des diverses "pressions" sur ceux qui embauchent permettraient sans doute aux artisans, petits patrons, commerçants et autres particuliers de prendre chez eux des stagiaires. (En dehors des Centres de formation dits légaux).

Mais à notre avis, aucune amélioration certaine ne peut se faire sur place à partir du modèle original copié et imposé.
Il faudrait un dialogue à part égale et non frustrant. Il faudrait que le guadeloupéen se sente concerné et non exploité. Pour cela, une autre répartition des richesses doit être envisagée.

Une formation professionnelle même à haut niveau théorique, ne ferait qu'aggraver la situation ici. Les gens doivent apprendre à se servir de leurs mains pour gagner leur vie. (Priorité au travail manuel). Ici, on ne répare presque plus, il suffit du crédit pour avoir du neuf, fabriqué ailleurs.

En conclusion, l’améliorer du dialogue social, passe par une réduction de la fracture sociale existante d’une part et la facilité d'autre part pour la formation aux métiers manuels sur le tas.

Moi je vais être franc, le programme de l'éducation nationale ne sert à pratiquement rien du tout quant-on est dans le monde l'entreprise. Des mathématiques en tous genres, histoire et géographie, physique et chimie ect...
Les stages en entreprise son effectivement des bons moyens d'évoluer dans des entreprises, de se faire des contacts, de se découvrir de nouvelle pation. Mais c'est sous réserve d'avoir un bon tuteur qui soit constient que vous êtes en aucun cas un employer (tout travail mérite un salaire). Certaine entreprise peuvent abuser de se système pour prendre des stagiaires qui ferrait le travail d'un employer.
Le but même du stage est de montrer sont travaillent,

Il faudrait peut être également que le guadeloupéen cesse de systématiquement se méfier de son employeur et penser qu'il est exploité et se positionner en tant "qu'esclave". Le pouvoir décisionnaire de l'employeur fait partie des termes du contrat de travail, c'est comme ça et pas autrement. Toutefois, employeur et salariés doivent comprendre que l'entreprise est une organisation dont l'ensemble des acteurs doivent mobiliser et mutualiser leurs compétences pour une meilleure performance de la structure, dans un objectif collectif : développer et péréniser l'activité. Les salariés ont des droits mais également des devoirs. De son côté, l''employeur doit veiller à fournir des conditions de travail optimales à ses employés, favoriser leur formation, etc.. Négocier et dialoguer permet à chacun de trouver sa place et d'être valorisé, reconnu et récompensé pour un travail bien fait. Intégrer ces aspects dans les formations permettrait peut être aux jeunes entrants de mieux apréhender leur rôle et missions dans l'entreprise et faire évoluer les mentalités. Des modules de connaissance de l'entreprise et de dialogue social et négociation pourraient être intégrés à toutes les formations quelque soit le secteur d'activité?