Liberte et RESPONSABILITE

A relire les différents "post" concernant ce thème, plusieurs constats se font jour :
- les fonctions électives devraient être limitées dans le temps et dans le nombre;
- l'implication dans la vie politique devrait être limitée à deux ou trois mandats dans des postes différents pour permettre le renouvellement de la classe politique et ne pas être confronté à la qualification de "dinosaure";
Les biens et avoirs des hommes politiques devraient être mis sous tutelle du TRÉSOR le temps de leur mission pour éviter toute contestation ou soupçon d'enrichissement personnel.
L'activité politique devrai être un ENGAGEMENT où l'élu accepte de prendre ses responsabilité et d'être sanctionné pour ses manquements et insuffisances au lieu d'être un "jackpot" où personne n'est soumis à l'obligation de résultat;
Les niveaux, strates et interférences de la gestion des collectivités sont un frein , voire un obstacle à l'évolution régionale; les instances doivent être réduites dans le sens d' une efficacité et une réactivité plus grande;
Les commissions , groupes de travail et autres missions fourmillent de personnalités compétentes (présidents de...., directeurs de .., chefs de..., organisations syndicales ou patronales) mais ne comprennent JAMAIS un INDIVIDU directement concerné par le problème! Est-ce parce que le citoyen n'est pas capable de s'exprimer par lui-même? Que les "intellectuels" de la politique ou de la société synthétisent mieux la pensée des électeurs ?
V. Hugo disait "Vous ne comprenez point, mère, la politique..." dans Souvenir de la nuit du 4.
Ne peut on point, dans les instances de réflexion qui les concernent inclure Un citoyen sans titre ronflant, juste pour la pertinence de son vécu et la perspicacité de son jugement?.
Voilà ! je voulais me livrer à une synthèse mais l'enthousiasme m'a emporté. Cela n'enlève rien à l'insistance de ces réflexions.