Favoriser les liens avec les Caraïbes via les classes et les écoles

Des stages linguistiques et en entreprises de 1 mois à 6 mois (comme cela se pratique actuellement en Chine) doivent être renforcés pour les jeunes martiniquais.

favoriser encore plus les liens intercaribéens sous tous rapports, politique, économique et culturelle

Adhérer a une relations d échange linguistique et culturel.

l'insertion régionale passe par la langue : il faut pouvoir communiquer avec nos voisins
le créole langue identitaire et de différenciation vis à vis de l'Hexagone n'est pas une langue de communication au sein de la Caraïbe
il faudrait pousser au bilinguisme français anglais et que le créole redevienne ce qu'il est à Ste Lucie, à Trinité (où il disparait), à la Dominique ou les langues régionales en hexagone : un élément culturel et pas un facteur de reconnaissance et d'exclusion (vis à vis de l'étranger, du Caribéen, de l'hexagonal ou du négropolitain "assimilé")
la Guadeloupe a t elle les moyens d'avoir sa langue à elle toute seule,n'est-ce pas un luxe lié à son statut ?
on ne communique pas en s'isolant (ou en se folklorisant) : il faut en finir avec la "spécificité " qui isole des voisins et des hexagonaux
les Pouvoirs Publics doivent avoir le courage de dire NON au mélange français Créole sur les radios et chaines publiques ou aux enseignants qui parlent en créole en collège ou en lycée
je propose :
apprentissage de l'Anglais dès la maternelle ;
apprentissage à l'école des règles de base de savoir vivre en matière de langue (en public on s'exprime dans la langue connue de tous, à savoir le Français, aux Antilles françaises),
sanction pour les enseignants s'exprimant en créole en classe au primaire et de delà ;
enseignement optionnel en créole haitien, qui est de fait par son nombre de locuteurs le créole standard des Antilles (et non dans les langues spécifiques de Martinqie, Guadeloupe ou Guyane)
reprise de journaux télévisés (en Anglais sous titré en français) des Etats voisins

ayant vécu sur plusieurs continents et ayant une épouse Antillaise, je suis sidéré par le nombrilisme local, pire que celui des Hexagonaux, mais ces derniers n'ont pas des fantasmes de fraternité avec leurs voisins ...

Je pense que l'idée de limiter le créole est très mauvaise, en pleine période ou on revendique notre identité créole ce serait mal venu. Néanmoins, je suis daccord avec le fait qu'il faille enseigner l'anglais et l'espagnole dès le CP (langues de nos voisins caribéens).

nous devrions dévelloper les voyages pédagogiques avec l'aide du conseil général (on pourrait taxer les oissons alcoolisées et les jeux de hasard pour financer ces voyages)

pourquoi ne pas organiser avec nos voisins de la caraibes une sorte de "foire de paris" tournante (chaque année organisé dans une ile différente) avec aide logistique du conseil régional. Devellopons les formations déjà organisée par la CCi, formation linguistiques pour Tous les chefs d'entreprise;

Favoriser et develloper les moyens de transport inter iles;

Très bonne idée la foire de Paris. Ah franchement si on nous laisait être imaginatif. on pourrait en faire des choses.....

Donc si je comprends bien, pour être compris de ses voisins, il faut se renier...
Quel bond en avant... Sanctionner ceux qui parlent une langue qui ne fait pas gagner d'argent, quelle idée novatrice en ce XXIème siècle.
Mais je pense qu'avant de vouloir être bien avec les autres, il faut être bien chez soi. Perdre son identité serait une bonne chose pour améliorer les relations extérieures (***ironie***).

Enfin, chacun ses idées, mais les vôtre semblent d'un autre temps:
_ Parler créole c'est mal
_ Faut pas parler créole dehors ou on va t'entendre

Bref en 2009 les mentalités évoluent, mais toujours dans le même sens

le rève de tout dictateur serait d'avoir sa langue et son alphabet (pourquoi pas de créole guadeloupéen en alphabet grec et le créole martiniquais en alphabet cyrillique - Staline était très fort au jeu des alphabets et des spécificité linguistiques ; les évangélistes essaient de faire la même chose avec les amérindiens du Guatémala : diviser et isoler les peuples). Pour le moment il n'est pas question d'enseignement du créole haïtien au lieu du créole martinique et du créole guadeloupe? çà me semblerait un minimum comme ouverture. Actuellement le créole est toujours un langue de repli et d'exclusion aux Antilles françaises.

quand un enseignant s'exprime en créole en classe dans une classe de la République n'exclut-il pas les non créolophones ? quand la télévision ou la rdio utilisent de façon récurente le créole dans les journaux télévisés n'excluent elles pas les non créolophones ? fait on la même chose dans les FR3 avec les autres langues régionales ? où a-ton vu qu'on s'adresse à quelqu'un qu'on connait pas en créole ? imaginez vous la même chose ailleurs ? je n'ai jamais vu çà ni en Europe ni en Afrique où on est au contraire très respectueux

reste à savoir pourquoi Ste Lucie, la Dominique et les autres Etats indépendant sde la Caraïbe ont choisi de ne pas donner un statut particulier au Créole
on ne construit pas son identité contre les autres ...

Assez d'accord avec votre commentaire. Un extrait de ma vision utopiste :
Les îles étant par leur configuration un carrefour vers les autres continents, il serait urgent que les antillais de manière générale aient une culture linguistique plus élevée que la métropole. Le créole pourrait très bien être enseigné en option, (comme le breton, l'arabe..). L'anglais, mais aussi l'espagnol voir le néerlandais ou l'allemand, devraient être des options obligatoires dès la 6ème. Pourquoi ne pas proposer une bourse d'études spéciale pour tous ceux qui choisissent d'apprendre le japonais, le chinois, ou le russe?

Il n'est pas normal d'enseigner dans une langue autre que le Français dans un pays français.
En France, qu'on le veuille ou non, l'écriture et la capacité d'expression ouvre largement plus de porte. Savoir s'exprimer clairement dans une région touristique avant tout est primordiale.
Par contre, il n'est pas normal que dans les programmes de l’éducation nationale, les Antilles et la Corse ne tiennent pas plus de place dans le programme d’histoire et dans les comparatifs économiques. Très peu d’héxagonaux connaissent finalement ses territoires (histoire et aussi actualité), d’où le sentiment de délaissement et les rumeurs répétées sans fondement réel.

On devrait développer des écoles "d'excellence" pour le secteur du tourisme. Prenons l'exemple sur le Maroc ou la Turquie ou la Dominique qui ont su créer une bonne image auprès des touristes.

Développons les expositions d'artistes locaux ou originaires des autres îles au sein même de l’aéroport. Les Antilles se doivent d'être la meilleure vitrine possible.

la TV autant que les voyages
avoir sur FRO les journaux TV de Ste Lucie ou Trinidad quotidiennement sous titré en français permettrait :
* d'apprendre l'Anglai
* lire de français
* connaitre les autres : leurs problèmes, leurs projets, leurs combats, etc.

déjà que les chaines nationales sont nombrilistes, RFO c'est encore pire : il faut s'ouvrir l'esprit !!!!!

oui, excellence idée

Perso, je me fiche qu'on parle créole à l'exterieur, bien au contraire, mais les enseignants doivent enseigner en Francais. Sinon, comment les enfants apprendront-ils à le parler correctement?
C'est d'abord aux parents, la famille de perpetuer les traditions et les rites... Je ne parle pas créole car dès que j'essayais on se fichait de moi. Je le comprend très bien cependant. (J'avoue qu'il me reste des efforts à fournir cependant, pour permettre à mon fils de le comprendre à son tour, je suis née, je vis en métropole..)

Je pense qu'on devrait réserver une option langue pour le créole en primaire qu meme titre que n'importe quelle langue régionnale. D'ailleurs, on devrait la proposer en hexagone aussi, ca permettrait de ne pas se sentir trop coupé de ses racines quand on y vit.

Et pourquoi pas une grande fédération caraïbéenne avec libre circulation des biens et des personnes ?

Chaque région de France exagonale a aussi sa propre histoire,sa propre "langue",son propre passé heureux ou douloureux.Sont ils pour autant tous enseignés dans les livres d'histoire,non,comment celà se pourrait il!Si très peu d'exagonaux connaissent notre histoire, j 'avoue ne pas connaitre non plus celles de l'Alsace ou l'Aquitaine par exemple,et je suppose que leurs habitants ne m en veulent pas ,pas plus que moi je ne leur reprocherai de me 'délaisser",il faut arreter de se croire le nombril du monde et d'en tirer des complexes, de façon à mieux s'ouvrir aux autres.Par contre oui,nous devons developper l'accueil aux autres,attirer les touristes en faisant valoir nos richesses à travers nos peintres,notre gastronomie,nos ecrivains,notre culture.

les liens avec la caraibe sont forcement difficile, pas de transport aerien et surtout pas les même cultures puisque entourée de pays anglophones.
La concurrence est deloyale (production,tourisme etc...)puisque les salaires moyen sont de 200$ us et dans nos departements de 1200€, n'oublions pas que nous sommes entouré de pays sous developper. Mais comme nous aimons tellement nous autoflageler, nous faisons tous pour qu'ils héritent de nos connaissances, des subventions, et surtout de nos touristes (seul ressource). Bref sens unique, mais comme c'est nous qui l'avons mis en oeuvre, nous en sommes fier. C'est une méthode et démarche de pays riche. Mais effectivement on peut toujours faire des echanges linguistiques et par la même occasion faire des comparatifs pour réalisé a quelle point nous sommes des gens heureux, riche et developper.

J'habite la Martinique située à plus de 7000 km de l'europe, par conséquence je suis premièrement caraïbéen et fier de l'être. C'est un fait que nous sommes identifiés comme français, mais notre quotidien se trouve dans la Caraïbe, donc développer nos relations avec la Caraïbe me semble judicieux. Parce que, l'ayant traversé de Porto Rico à trinidad je pense avoir vu de près nos voisins et comprendre que qu'il n'y a pas que le tourisme à développer il ya énormément de compétences, d'idées qu'aurait aimer développer les jeunes d'ici. D'autant que les antilles françaises sont au carrefour de l'amérique du sud, centrale, et du Nord, des marché qui ne demandent qu'à s'ouvrir. Avant d'avoir une opinion sur une région aller dans ces iles passer y du temps parler avec leur population. Et enfin en ce qui concerne le créole, il fait de nous ce que nous sommes, si je n'étais pas créole je n'aurais pas été ce que je suis et ce que je suis devenu, alors demain privé mon enfant d'une partie de son identité est complètement criminel et je ne pense pas qu'il finira illétré ou rebus de la société si je lui donne l'éducation qu'il faut et que je l'aide à se situer dans cette société complexe

il faudrait créer un espace économique et politique caribéen dans lequel intégrer la guadeloupe et la martinique.

Créer des sortes de carte de séjour temporairement valablespour la guadeloupe et la martinique depuis les autres îles de cet espace afin de favoriser la venu des gens de la dominique, de cuba, de sainte-lucie pour quelquesmois par exemple...

il faudrait développer les échanges entre les iles en créant, par exemple, des institutions communes : un institut météorologique caribéen, un institut culturel caribéen accueillant les artistes de toute la caraibe, un institut d'étude de langue créole caribéen,etc...

créer une université caribéenne, en guadeloupe, martinique ou sur une autre ile non française : permettre à tous les étudiants de partout et de la caraïbe de venir étudier quelques temps dans cette université,..permettre aux meilleurs étudiants d'obtenir un titre de séjour en france pour aller travailler...

créer un institut de recherche caribéen en guadeloupe ou en martinique et y accueillir les meilleurs étudiants de la caraibe et les chercheurs de toute la caraibe porteurs d'un projet de recherche économiquement intéressant portant sur les ressources naturelles caribéennes...

c

une anecdote : Alfred Marie-Jeanne qui accueille, en 92 à Rivière Pilote, Derek Walcott en créole martiniquais ; chercher l'erreur
Un préalable à une quelconque intégration serait se demander ce que nos voisins pensent de nous, comment nous voient-ils ? sont-ils intéressé à développer des relations avec nous ? quelles relations ? etc.
La Martinique et l'archipel guadeloupéen ne sont pas le nombril de la Caraïbe tout comme ils ne sont pas le nombril de la France ...
Etre géographiquement dans une zone ne donne aucun droit à en membre à part entière, d'autant que les langues, l'histoire, la culture, la relation à l'Etat, la vie sociale, le système juridique, etc; sont très différents.
Si les autres ne veulent pas de nous ou si ils nous attribuent une place qui n'est pas celle que nous attendons (par exemple : donnateur ou employeur et non fournisseur ou partenaire) c'est que nous avons un petit problème
Pour le moment je n'ai pas l'impression qu'on se pose cette question de base.
L'anecdote ci-dessus (j'en ai de nombreuses autres sur une quinzaine d'années) montre bien le décalage entre des responsables des Antilles françaises, (mais çà vaut pour les "intellectuels" et la population générale) et les "autres" caribéens ; Monsieur Marie-Jeanne, en toute bonne fois et pour montrer sa "caribéanité" , a voulu imposer sa langue à l'autre qui en l'occurence est anglophone, ne pratique pas couramment le créole martiniquais et a répondu en anglais ...

Pour développer une relation pérenne et basée sur une relation gagnant gagnant évitant les malentendus, il faut déjà commencer par apprendre à se connaître mieux. Cela sous entend deux dimensions: 1- Quel(s) média (s) utiliser pour améliorer cette connaissance réciproque?; 2- Comment franchir la barrière de langue ?
Personnellement, j'ai tendance à penser que la diffusion d'émission télé ou la rediffusion de journaux sous titrés seraient un très grand pas. Ensuite la deuxième étape est incontournable: simplifier les déplacements dans la région ==> Comment diminuer le coût des billets d'avion?

Nous nous faisons beaucoup d'illusions, car nous ne connaissons pas nos voisins de la caraibes, et eux ne nous connaissent pas.
Nous ne sommes pas antillais à leurs yeux mais FRANCAIS.
Nous n'avons aucune relation...
Combien d'entre nous connaissons le nom du 1er ministre de Ste-Lucie, Barbade, Grenade, St Vincent ou Antigua ?
Lors de notre mois de grève, mis à part Ste Lucie, pour des raisons pratiques, aucune de ces iles ne savaient ce qui se passait chez nous !
Savez vous quels sont les contraintes pour un caribean, pour se rendre à la Matinique ?
Le tourisme et les relations professionnelles ne pourrons jamais se développer dans de tel conditions.
Il nous faudra faire un effort sur nous afin de connaitre nos voisins, oublier se coté supérieur que nous avons sur nos voisins "Anglé" et d'après nous faisant parti du tiers monde.
Nous sommes loin de la réalité et si nous voulons un jours faire du business avec nos voisins, nous avons intérêts à nous préparer et nous mettre au pas, car ils ne sont pas "sous développé" comme certains pourraient le croire.

Bien sûr, serions-nous même au fin fond de la Corrèze qu'il faut apprendre l'anglais, puisqu'en 220 ans, le français a rétrogradé du statut de langue universelle a celui d'"exception culturelle".

Pour faire carrière, trouver du travail l'anglais est désormais - peut-être définitivement - imprescriptible.

Si c'est un véhicule pour communiquer avec la Caraïbe tant mieux.

Mais l'attention principale doit être portée sur la sauvegarde du créole, véritable "lingua franca" de la majorité des petites Antilles et effectivement jusqu'à la Trinité.

Encore faut-il que la pratique parallèle du créole et du français ne soit pas un handicap pour nos jeunes... qui n'en ont pas besoin... donc il faut abandonner la ridicule graphie phonétique qu'eussent désavouée nos grands'parents, qui parlaient le créole à la perfection, pour revenir à l'orthographe française dont la bonne connaissance sera toujours une voie de réussite pour nos jeunes.

Arrêtons de nous couvrir la tête de cendres... la Guadeloupe et la Martinique ne sont certes pas le nombril de la Caraïbe, mais elles ont bien vocation à l'être des Petites Antilles, ne serait-ce que parce qu'elles sont les plus grandes et les plus peuplées.

Si elles voulaient bien agir de concert, avec des idées pratiques de coopération ce serait là un rôle qu'eles pourraient sans aucun doute saisir et assumer

La Caraïbe n'est pas un espace économique

Le Caricom, depuis 34 ans qu'il existe, n'a pas réussi à en créer un. Ses membres font au mieux 10 à 20% de leur commerce entre eux; lorsque c'est un peu plus impôrtant c'est dû au pétrole de la Trinité.

La "masse critique" n'est pas atteinte, à vues humaines, elle ne le sera jamais.

Par contre, dans ce monde qui se dit "multipolaire" - sans s'en donner les moyens - voir le créole - il y a lieu de conforter la communauté humaine support de culture qu'est effectivement la Caraïbe.

il faut créer une grande région guadeloupe martinique guyane
il faut qu'à l'interieur de cette grande région tous soient parfaitement bilingues
Je suis persuadé que la colonisation française a été plus pernicieuse que la britannique et
que l'emancipation from mental slavery sera plus difficile pour nous (cf exemple de st martin)
il faudrait que nos petits chefs politiques arrêtent le navel gazing pour créer cette grande région
il faudrait que nos enseignants se bougent un peu pour sortir 10 polytecniciens chaque année et autant d énarques.je nai pas une confiance aveugle en ces gens là mais si on les produisait la france nous prierait" DE BIEN VOULOIR ,S'IL VOUS PLAIT PRENDRE NOTRE INDEPENDANCE..S'IL VOUS PLAIT
tous les directeurs(edf , poste,douane ports,santé,travail et emploi police,agriculture,recteurs,dde....) seraient de la region et benéficieraient pour ceux qui sont fonctionnaires de points supplémentaires pour rentrer au pays
il suffirait de peu de choses pour que ça marche;juste que nous recherchions
l'estime de nous-memes et pas celle du colonisateur

Je dirais même plus, ces stages linguistiques devraient être obligatoires entre la 2nde et la terminale. Pendant les grandes vacances par exemple. 1 mois ce serait déjà pas mal.

Vous ne pouvez pas avoir des élèves qui passent le bac afin un niveau en langue aussi médiocre!

Favoriser les stages de Recherche et Développement dans la Caraïbe pour les étudiants des Antilles Guyane qui se destinent à entamer une carrière dans la recherche fondamentale ou appliquée!
L'université des West Indies a de brillants chercheurs, Cuba a des centres de recherche, pourquoi ne pas en profiter ?

Ils pourraient ainsi se familiairiser avec leu futur milieu professionnel, et la langue internationale de la recherche: l'anglais.

Il faut commencer par apprendre à connaître nos voisisns, leur histoire, leur culture. Ces notions devraient être abordées au collège et au lycée. Faisons une place dans notre cursus scolaire pour les auteurs antillais. Au lieu de pousser les étudiants à partir faire leurs études à 7000 km d'ici, il lfaudrait encourager les échanges avec les universités de l'arc antillais (Trinidad par ex). Plus on génèrera du trafic entre les autres îles et les DOM, plus le transport inter-îles se développera en Guadeloupe et Martinique. Le transport est un point crucial. Il est inadmissible de mettre plus de temps pour rallier Port-of-Spain que Paris depuis PAP!

"créole, véritable "lingua franca" de la majorité des petites Antilles et effectivement jusqu'à la Trinité"
il parait qu'il est même parlé par quelques individus (non Haitiens) en Louisiane ...
il fut arrêté de réver la langue commune est l'Anglais ; Trinidad et Tobago a choisi de devenir un pays bilingue anglais-espagnol et aucun de nos voisins n'accorde un statut au créole qui aura dispau sur ces territoires d'ici 2 ou 3 générations sauf peut être en Dominique - tant que ses 2 voisins sont plus riches et attirent sa population.

Depuis une vingtaine d'années les étudiants (et les chercheurs-enseignants) bénéficient du programme ERASMUS qui leur permet une réelle mobilité visant à développer l'apprentissage et les échanges dans l'Union européenne.
Un programme similaire, organisé par ou avec l'Association des États de la Caraïbe, en partenariat avec l'UE, serait un moyen extraordinaire de tisser des liens solides entre toutes les entités caribéennes, États et territoires non-indépendants, et de renforcer ainsi la cohésion et le sentiment d'appartenance à cette région.