





Favoriser l'agriculture locale en développant l'elevage, en détaxant et protégeant les terres agricoles, en favorisant l'accès des jeunes au monde agricole, en réservant les emplois locaux aux originaires du pays et en mettant une barrière douanière sur les produits importés. Faire évoluer le statut de la Guadeloupe en collectivités d'outre-mer.
Favoriser et développer l'agriculture locale
Ben tiens, du protectionnisme maintenant. On est au XXIè siècle. le développement doit passer par des voies positives.
Favoriser et développer l'agriculture locale
Il s'agit de la lutte du pot de terre contre le pot de fer. Limiter les importations reviendraient à créer des quotas à l'importation. Selon moi, le système de quotas peut favoriser la création de monopole de produits locaux qui peuvent se vendre plus cher que les produits importés. il faut donc, trouver un système qui favorise le libre choix du client. Pour augmenter la production locale, il est nécessaire que les agriculteurs airnt des revenus suffisant, sans pour autant augmenter le prix de vente des produits locaux.
il serait bon aussi au niveau du système éducatif, de proposer aux jeunes sans emploi des formations qualifiantesrelatives aux métiers de l'agriculture, et de développer les métiers de l'agriculture. Le but étant de lutter contre l'éxode rural et favoriser un retour à la terre.
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Favoriser la production agricole locale et protéger les terres agricoles afin qu'elles ne se transforment pas en hôtel qui partent en dépôt de bilan ou en résidence privé réservé à une minorité qui se reconnaîtra.
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Instaurer des quotas annuels sur les importations (fruit, légumes, viandes, et produits dérivés...) afin de favoriser le développement d'une agriculture innovante en Guadeloupe.
Mettre en place un centre de recherche avec l'objectif d'analyser, de traiter, les terres agricoles et d'innover avec de nouvelles agricultures et élevages....
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au Brésil, grâce à la volonté des pouvoirs publics, il y a un fort pourcentage de voitures qui roulent avec un mélange à base d'alcool de canne à sucre (voitures dites flex). Celà n'est peut-être pas rentable avec un baril à 50 dollars mais tous les experts assurent que le record de 147 dollars en 2008 sera largement battu avec l'épuisement des réserves de pétrole dans les 20-30 prochaines années, peut-être avant. C'est donc demain. De plus, quel que soit le prix actuel, le Brésil continue et celà fait baisser sa facture pétrolière et améliore son indépendance énergétique. .
Sous nos latitudes tropicales, en choisissant les variétés de canne à sucre les plus productives et en augmentant les surfaces, pourquoi ne pas faire comme les brésiliens? L'adaptation des moteurs n'est pas très compliqué. et les agriculteurs pourraient produire plus, y compris sur les sols chargés de chlordécone et sans dépendre des débouchés commerciaux extérieurs.
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Il faut surtout aider les entreprises qui proposent la transformation des produits agricoles en véritables produits qui ont une valeur ajoutée, alimentaire ou cosmétiques (huiles essentielles par ex.). La culture quasi exclusive de la canne a sucre et de la banane ne permet pas ce développement... il faudrait accroitre les autres cultures (poyot, vanille, coco, fruit a pain, melon)
Cela permettra de créer des vraies richesses et de développer les exportations mais aussi de créer des emplois, pas seulement d'agriculture, mais aussi de techniciens et d'ingénieur pour des usines, dans le marketing (études de marche) et d'entrepreneurs...
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quand je veux acheter des bananes bio en métropole, je suis obligé d'acheter des bananes qui viennent d'Amérique centrale ou des iles anglophones ou hispanophones.
Des bananes bio de Martinique ou Guadeloupe sont introuvables.
Pourtant, il y a pour ce type de produit une demande qui est en hausse malgré la crise.
Même si celà ne concernera pas de grandes surfaces, la filière bio à l'export mérite d'être développée.
D'autre part, en Martinique, quand je cherche un jus d'orange au rayon frais des supermarchés, je trouve facilement des jus à base d'oranges qui viennent d'Espagne, de Floride ou du Brésil. Trouver des jus à base d'oranges produites en Martinique relève du parcours du combatant et n'est pas souvent couronné de succès!!!
Je me demande si une production locale semi industrielle ne serait pas possible, permettant alors le développement de grands vergers d'agrume: orange, pomelos, citrons,....Celà a fait la richesse des agriculteurs de Floride, qui ont su créer une image de marque alors que les sols sur lesquels il cultive sont des sables presque purs et qu'ils sont plus haut en latitude, donc un peu moins d'énergie solaire pour les fruits
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dans plusieurs supermarchés de Martinique, j'ai trouvé en grande quantité des tamarins sous forme de fruits emballés sous film platique. L'origine? Thailande!!!
Vu la distance et le coût du transport, on marche sur la tête.....
Le tamarin pousse et produit des fruits très bien en Martinique sans aller en chercher en Thailande!!!!!!
Même remarque pour les meubles en teck provenant d'Asie. Nous avons des essences de bois locaux adaptés à l'ébénisterie et toute une filière à revaloriser (forestier, bucherons, ébéniste,..)
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Favorisons, les AMAP, l'agréculture BIO et ethique et ses dérovés cosmetiques Bio mais aussi mobiliers. C'est plus qu'une mode, c'est une prise de conscience et c'est une opportunité de redorer notre image, de ressortir de notre trou économique et d'être moins dépendant.
En fait, je me demande encore pourquoi on est pas les 1ers de ce domaine. En plus tout va ensemble : formation des jeunes dans le développement durable, formation des commerciaux et pro du marketing bi voir trilingue pour promouvoir nos produits, dans les autres îles et dans les autres pays. (Il n'y a pas que le France ou l'Europe)..
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un détail , il faudrait que les antillais arrête de "peter le bras des autres" : J'ADORE LA CAResse antillaise ou le mont pelé. Exotique Center a Saint denis vent plus cher sa boison 2.85€ alors que Cora Massy chez moi, donc, est entre 2.50 et 2.80 pour les fruits les plus rares.. L'indou d'à côté vent à 2.30!
Je parle de centimes sur un produit que j'adore, mais ça mérite réflexion, non?
La logique aurait voulu que Exotique center soit moins cher non? Ils sont spécialisé, ont de gros volumes. Avez-vous une explication?
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Les agriculteurs de Floride ont l'espace,nous ne l'avons pas,
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A Marie BOHARS qui précise que les agriculteurs de Floride ont l'espace que nous n'avons pas pour produire des agrumes et ensuite des jus de fruit, je répondrais simplement qu'il s'agit dans un premier temps de satisfaire la demande locale qui est réduite avant de songer à l'exportation.
Si je suis le raisonnement que la surface n'est pas suffisante, avec la canne à sucre, on partait battu d'avance par rapport au Brésil (de mémoire, 4 millions d'hectares de canne plantées) ou par rapport à Cuba, (plusieurs centaines de milliers d'hectare). Pourtant, les professionnels martiniquais ont su développer une production de rhum de grande qualité qui fait beaucoup mieux que satisfaire la consommation locale.....Ils n'avaient pas les grandes surfaces du Brésil et Cuba mais ils ont choisi de faire de la qualité et ils ont trouvé des débouchés à l'export en plus de satisfaire les besoins locaux..
Pourquoi ne pas faire la même chose avec le jus d'orange? Ce serait en plus meilleur pour la santé!!
J'ajoute que le succès du rhum martiniquais à l'étranger aurait été bien plus grand si les professionnels s'étaient unis pour en faire la promotion comme le Cognac l'a fait.
Mon métier m'a conduit très souvent en Allemagne et en Asie, pays grands consommateurs de Cognac. Mes collègues locaux ont été à chaque fois stupéfaits quand j'apportais une bouteille de rhum vieux de Martinique de voir qu'il faisait bien mieux que rivaliser avec leur Cognac habituel. Ils en auraient acheté volontier, même cher. Mais aucun canal de distribution n'existait pour pouvoir s'approvisionner localement et j'avoue aujourd'hui ne pas avoir songé à contacter les producteurs martiniquais.
Pour revenir à l'orange, je ne suis pas spécialiste de ce marché. J'observe seulement les rayons quand je fais mes courses. Je constate que le rayon des jus a tendance à s'allonger avec de plus en plus de choix: à côté des origines Floride, il y a des jus à base d'orange du Brésil, à base d'orange d'Espagne, des jus rouges à base d'orange sanguine de Sicile. Justement, cette isle, avec des surfaces limitées, a su développer une orange particulière et a trouvé des débouchés sans pour celà inonder le marché puisque les siciliens n'ont pas les surfaces de Floride.
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il faut éviter le "gaspillage" de nos matiéres premiéres et en faire un atout.j'ai réfléchis à la question et il y a des solutions
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Fermer ses frontieres pour protéger son agriculture est possible, mais à certaines conditions.
Le Japon protége ainsi sa production de riz locale par des barrières douanières infranchissables. Ils n'importent pas de riz alors que c'est leur aliment de base quotidien et que le coût de production japonais est très élevé par rapport à celui du riz qui pourrait être importé.
C'est un choix politique de longue date pour ne pas être dépendant de l'étranger pour les besoins alimentaires.
Les japonais acceptent d'en payer le prix pour garder leur indépendance alimentaire et pour sauvegarder leur agriculture, leurs agriculteurs et leurs paysages. Le Japon est en effet un pays montagneux, très industrialisé et les surfaces disponibles pour l'agriculture sont limitées, ce qui fait que chaque bout de parcelle fertile est cultivé comme un jardin et contribue à la beauté des paysages.
Est que les Guadeloupéens, Martiniquais qu viennent de faire grève pour baisser les prix de l'alimentation (entre autre) accepteraient de faire comme les Japonais en payant plus cher leur alimentation pour financer leur agriculture? J'en doute un peu. Une autre méthode serait les subventions mais qui fournit l'argent des subventions en bout de chaine? Nos impôts, je crois....
J'ajoute que la production agricole japonaise est une des plus sophistiquées du monde avec de très nombreux centres de recherche qui leur permet d'optimiser leurs méthodes de production et d'être à la pointe de la technique. Donc, tout à fait d'accord avec la nécessité de valoriser et développer les métiers de l'agriculture, à tous les niveaux sans négliger le niveau technicien-ingénieur. Il faut aussi améliorer l'image de l'agriculture auprès des populations
En effet, quand j'ai fait mes études agricoles en région parisienne, la plupart des régions françaises étaient représentées sauf les DOM alors qu'il y avait dans ma promotion plusieurs élèves africains et d'Amérique du Sud, Ce n'est pas un sondage et il ne faut surtout pas généraliser mais, si je me limite à mon exemple vécu, je pourrais en conclure que les métiers de l'agriculture ne sont pas attractifs dans les DOM.
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un plus grand choix d'importation
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Je viens de prendre connaissance de la contribution et je me demande pourquoi, alors qu'on encourage la mobilité territoriale on devrait réserver les emplois locaux aux originaires du pays.
Chacun est libre de s'installer où il le souhaite et à partir du moment où un individu a un projet ambitieux et sérieux, il mérite selon moi autant d'encouragement que le potentiel travailleur dit local.
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Il serait souhaitable qu'une etude par des nutritionistes independants se fasse jour au sujet de nos legums locaux d'abord on arreterais de mal manger Quand on voit ses femmes avec ses doses de surchage ponderale elle ne doivent pas avoir de glace chez elles l suffirait d'ecouter tout recement ces etudes aux USA sur l'horreur del'obesite ? Et que fait 'on on cour les fast food?
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et bien, les solutions, c'est le moment de les donner !! on est là pour ça .
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on parle ici de developper l'agriculture mais il faudrait plus de diversité dans les cultures car la banane a fait long feu . il faut imperativement trouver un moyen d'enlever le CHLOREDECONE et planter en tenant compte des besoins prioritaires de l'ile ( ce qui ferait baisser les prix ) .
il faudrait supprimer les subvensions de la banane et les reporter un cours laps de temps sur les cultures diversifiées et necessaires à l'ile . il faut replanter des arbres car certaines especes sont "oubliées" et beaucoup ont été detruit par le cyclone .
il faut remettre des haies coupe-vent et ne pas oublier que les arbres retiennent le sol et evitent en partie les inondations .
surtout ne pas deforester pour planter plus . utilisons bien les surfaces et permettons aux particuliers de créer leur jardin avec l'autorisation non taxée d'en vendre le produit ( ce qui fera baisser les prix et agrandira la surface agricole)
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Il y a une dizaine d'années au moins (je n'ai plus souvenir de la date exacte), un colloque s'est tenu dans le sud de la Martinique (au Marin je crois) sur le Japon pour mieux comprendre comment une ile dépourvue de matière première, très peuplée, montagneuse et soumise régulièrement à des séismes violents (Kobé par exemple) et à des typhons a pu devenir une des premières puissances économiques de la planète alors que ce pays a perdu la dernière guerre mondiale avec de lourdes pertes humaines et matérielles. Il serait intéressant de retrouver les conclusions dans les archives pour voir si certaines pourraient alimenter la réflexion actuelle.
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Je suis d'accord avec Eric, Valorisons le extra qualitatif au lieu du quantitatif. Dirigeons nous vers une agriculture de luxe.BIO et Ethique... Travaillons sur un label de haute qualité reconnu à travers le monde. S'il n'existe pas, créons le!
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Eric,
Faisons donc venir les thailandais travailler pour nous pour être meilleur marché que les produit qu'ils nous proposent de si loin!!!
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Afin que les Antillais puissent sortir de ce que Edouard Glissant a caractérisé de "misère mentale" il est absolument nécessaire que La France développe les possibilités de travail dans l'agriculture et dans la véritable industrie. La production locale est l'unique sortie de l'impasse et du désarroi mentaux.
Le seul travail dans le secteur tertiaire qui est entre les mains des grandes familles blanches est aliénant. Il faudra que les Antillais deviennent maîtres de la production de leurs îles.
Et les jeunes ont l'obligation morale d'accepter le travail dans l'agriculture et dans l'industrie s'ils sont chômeurs.
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C'est depuis que les patrons du cognac comme vous dites ont repris la plupart des distilleries martiniquaises que nous avons obtenu l'AOC pour le rhum agricole martiniquais. Trouver l'erreur. Si vous pensez que le réseau de distribution est insuffisant en Europe, vous savez maintenant à qui vous adresser.
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Pour monter des chaînes de production qui soient viables et rentables (filière du porc, du boeuf, du poulet, production d'oeufs, .....), il faut attirer des professionnels métropolitains qui pourraient nous expliquer comment reproduire ce qui marche dans leurs régions. Il n'y pas de raison que nous ne puissions pas être (au moins) autonome sur notre alimentation de base
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J'ignorais que les distilleries avaient été rachetées par des sociétés de Cognac. Je ne suis pas spécialiste du rhum et ne fais que témoigner de ce que j'ai vécu.
Alors que la marque Bacardi était présente et visible dans les pays que j'ai pu visiter en dehors de l'Europe, rien de tel pour le rhum de Martinique.
Pourtant, la qualité est là.
L'obtention de l'appellation AOC est une reconnaissance de cette qualité et une excellente chose pour les rhums de Martinique.
Reste à en faire la promotion pour exploiter le potentiel de développement.
Est ce qu' une société qui, historiquement, produit et vend d'abord du Cognac est la mieux placée pour faire cette promotion d'un produit concurrent? Personnellement, j'en doute beaucoup.
C'est pourquoi je crois plus en l'efficacité d'une promotion globale du "Rhum Martinique" (indépendemment de telle ou telle distillerie) qui serait assurée par une interprofession et non par telle ou telle distillerie, pour mutualiser et renforcer les moyens.
Mais, là encore, je ne suis pas spécialiste de la question.
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Comme d'autres internautes l'ont souligné il faudrait avant de penser à l'exportation aider les producteurs à satisfaire la demande locale (en produits d'élevage notamment). Il faudrait aussi favoriser le développement d'entreprises de transformation des produits agricoles innovantes qui sont les sources de valeur ajoutée (on pourrait imaginer transformer les productions agricoles en produits cosmétiques made in antilles, chocolat, textile...). Quant aux produits d'exportations classiques (banane, canne à sucre) dans la mesure où nous ne sommes pas compétitifs par rapport à certains payx d'Amérique Latine ou d'Afrique (compte tenu des couts de production européens) il faudrait se focaliser sur les filières qualité (filière bio notamment). On pourrait envisager de favoriser également l'écotourisme. Ces aides pourraient provenir d'une meilleure affectation des subventions actuelles trop orientées autour de la banane. Cela necessite une meilleure structuration des filières (je pense à l'élevage encore une fois). Une meilleure organisation des marchés de proximité (les antillais ont semble t-il découvert pendant la grève qu'on pouvait acheter ses produits alimentaires sur le marché, ailleurs que dans les centres commerciaux). Cela nécessite aussi un plus gros effort pour soutenir les centres de recherches agronomiques existant sur des questions autour de la structuration des filières, la dépollution des sols, la transformation des exploitations agricoles...
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j'avais oublié il faudrait bien sur protéger (c'est un préalable) les terres agricoles du mitage par la spéculation immobilière
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un thèmes a aborder sur la finance quel atelier ?ou est la place des entreprises de la gpe a travers les états généraux ( les artisans , première entreprise de france? les banques ne suivent pas il faudrait faire une collectivité financière la france a injecté une trésorerie pour les banques que devient cette sommes le médiateur de l'iedoom devrait défendre d'avantage les entreprises car nous sommes les forces vives du pays il faut faire l'ouverture sur la caraibe avant qu'il ne soit trop tard initier les jeunes a dévelloper la filiére de l'agriculture et la transformation des matières premiéres qui exsistent sur notre térritoire
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Nous sommes en 2009. Non loin de chez moi, il y a de beaux champs de tomates... Une fois par semaine, un gars botté (d'origine Haïtienne) en short et tee-shirt, et sans masque respiratoire (il va sans dire), pulvérise à tout va pendant des heures des produits phytosanitaires toxiques à l'aide d'un pulvérisateur à main... Véridique.
Si les services de contrôle existent, ont dirait qu'ils ont pour mission de ne rien voir...
En Guadeloupe on peut acheter pratiquement n'importe quel produit phyto "à tête de mort" sans être un pro et sans être habilité à pratiquer des dosages précis (millilitres) et respecter les cadences de traitement...
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Des pyrétrinoïdes de synthèse au cyanures en passant par les organoschlorés, nous absorbons au quotidien (et ce pendant des années encore à cause de la rémanence de ces poisons) nombres de toxiques cancérigènes quand ils ne sont pas directement responsables de malformations génétiques...
Bien que l'alarme "santé" ait retenti de nombreuses fois (médias locaux), ces produits nocifs pour l'homme qui s'en sert abondamment pour perdre le moins possible de récolte, sont toujours utilisés sous d'autres appellations...
Il est évident qu'il faut que le système perdure, que l'économie reste plus ou moins stable, il en va de l'avenir de la société de consommation : il est préférable de cacher la problématique que d'agir efficacement en désembouteillant les hôpitaux. Préservons-nous par notre comportement le mal être et la souffrance ?
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Tout ne serait qu'une question de bizness finalement ? Quel politique prendrait les choses en main sans risquer sa place ? Aucun. Serait-il suivi par les agriculteurs à qui l'on proposerait des moyens de lutte contre les ravageurs (insectes-champignons) moins efficaces ?
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Tout au début du premier millénaire, Jésus (entre autres) multipliait les pains. Deux mille an de complications plus tard, si l'on veut voir un miracle, j'ai le sentiment qu'il faut le faire soi-même !